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Le ministre Vanhengel se réjouit de la hausse des transactions immobilières en Région bruxelloise




Le ministre Vanhengel se réjouit de la hausse des transactions immobilières en Région bruxelloise
  
« Le dernier Baromètre des Notaires indique en effet un nombre étonnamment élevé de transactions immobilières dans notre pays durant ce premier trimestre 2016. L’impact de cette bonne nouvelle ne se reflétera dans les chiffres et nos recettes que dans quelques mois », déclare le Ministre des Finances et du Budget de la Région de Bruxelles-Capitale Guy Vanhengel (Open Vld).

Il ressort des chiffre des notaires que le nombre de transactions augmentent dans les trois régions : +9,7% en Flandre ; +7,1% en Wallonie et non moins de +16,1% à Bruxelles. Ces données sont récoltées par voie électronique lors de la signature du compromis de vente, 3 à 4 mois avant la signature de l’acte. Les notaires disposent donc des chiffres les plus récents en ce qui concerne le marché immobilier belge.

« Le fait que les Belges se ruent pour l’instant sur le marché de l’immobilier n’est pas étonnant » poursuit le ministre, « les taux d’intérêt sont historiquement bas, alors que les livrets d’épargne ne rapportent que peu ou rien ». Dès lors que le nombre d’acheteurs potentiels s’accroît, bon nombre de personnes décident de mettre en vente leur bien, ce qui rend le marché très dynamique.

Impact sur les recettes fiscales

 «  L’impact de cette bonne nouvelle ne se reflétera dans les chiffres et nos recettes que dans quelques mois » annonce le ministre Vanhengel.

 « Dès lors que les chiffres sont tous récents et que le nombre de transactions n’est pas le seul facteur qui détermine nos recettes – il faut également prendre en compte l’évolution des prix – il est trop tôt pour se prononcer sur l’impact sur nos recettes. Un hirondelle ne fait pas non plus le printemps. Les recettes s’évaluent dans leur totalité. Un ajustement budgétaire ne se fait pas sur la base d’un impôt ou d’une aubaine ».

« La réforme fiscale bruxelloise peut avoir contribué à la forte hausse du nombre de transactions, comparé aux autres régions », explique encore le ministre.

« Nous suivrons l’évolution du marché immobilier de plus près ces prochains mois et pourrons alors avoir un débat intéressant sur la base d’analyses plus approfondies ».