Les besoins à Bruxelles sont immenses. 

Un nouveau stade de football est-il vraiment utile? 

Le Gouvernement bruxellois s'efforce déjà depuis quelques années, à rendre meilleure la capitale du pays et de l'Europe. Aussi bien au niveau national qu'international. 

Ainsi, la Région bruxelloise s'attèle à la revalorisation et au réaménagement de dix zones leviers (lieux clé qui sont importants pour le rayonnement de la ville), avec entre autres Delta (où le nouvel hôpital Chirec est actuellement en chantier), le plateau du Heysel, qui sera entièrement rénové avec entre autres un grand centre de congrès, Tour&Taxis, la zone du canal, le parc médiatique Reyers et Josaphat. Nous nous attelons également à la construction de nouvelles écoles et élargissons la capacité de celles-ci. Après des années d'immobilité, le métro sera prolongé et les tunnels seront rénovés. 

La viabilité pour les citoyens et les usagers est cruciale. Voilà pourquoi le piétonnier a été mis en place, que nous améliorons les transports publics et que nous construisons des parkings de dissuasion, dont le parking C. 

Nous projetons également des infrastructures pour maintenir le statut de capitale européenne; un grand centre de congrès, un musée d'art contemporain dans le garage Citroën (en collaboration avec le Centre Pompidou à Paris), le réaménagement du Plateau du Heysel (58 ans après) et encore quelques autres petits projets tels que le musée Le Chat et le Centre d'expérience de la bière dans l'ancien bâtiment de la Bourse.

D'un point de vue international, l'Eurostadium s'intègre dans les projets du Gouvernement bruxellois qui souhaite devenir une capitale avec ambition et rayonnement.

Le statut européen de Bruxelles est une bénédiction, mais implique également des obligations. Il est donc nécessaire de continuer à soutenir la riche offre culturelle et sportive. D'ailleurs le sport et la culture représentent le meilleur ciment pour cette ville cosmopolite. 

En ce qui concerne le sport, nous investissons déjà énormément dans les halls de sports, nous installons des dizaines de terrain de pelouse synthétique, rafraichissons des infrastructures désuètes telles que par exemple le Crossing Schaerbeek et l Union St-Gilloise. Nous rénovons également les infrastructures sportives dans les écoles telles que par exemple l'Athénée E. Hiel, Kasterlinden, Koekelberg etc., qui par le biais du Brede School (école au sens large) sont mis à disposition d'un public plus vaste. 

Outre le sport récréatif, il y a le sport de haut niveau. Les Bruxellois ont besoin de héros,  d'exemples et de rêve. En ce qui concerne les sports d'équipe, le football représente la branche sportive la plus importante, suivi de près par le baskeball, le volley et le hockey. Nous tenons également à nous attaquer aux besoins des infrastructures sportives de haut niveau. Voilà pourquoi, nous prévoyons un grand complexe sportif sur le plateau du Heysel proposant une infrastructure pour les nombreux clubs sportifs de la Région de Bruxelles-Capitale.

Bruxelles dispose du Stade Roi Baudouin. Pourquoi construire encore un nouveau stade de football ?

Notre pays ne dispose d'aucun stade répondant aux normes européennes (fixées par l'UEFA) lui permettant d'organiser des compétitions de football internationales. La rénovation du Stade Roi Baudouin en 2000 fut une occasion manquée. Pour le championnat européen de 2020, 13 villes ont été sélectionnées. Notre pays a également introduit sa candidature et a été sélectionné. Plus encore, Bruxelles est considérée comme pionnier parmi ces 13 villes. Imaginez un instant que la Belgique doive se retirer, faute d'infrastructure ? Dans un pays avec une grande tradition footballistique et une équipe nationale figurant dans le top, et avec Bruxelles, capitale de l'Europe, cela n'est pas possible. Cela ne porterait que préjudice à notre image.

Pouvons-nous vous rappeler qu'une grande partie de notre richesse provient de notre statut européen et du rayonnement international de Bruxelles. 

En outre, des études récentes du CDES, une institution de recherche renommée en France, montrent que l'impact de l'EURO 2016 sur l'économie française s'élevait à 1,2 milliard d'euros.  

L'Euro 2020 est donc d'importance capitale. Y compris pour ceux qui n'aiment pas le football. 

Pourquoi ne pas rénover le Stade Roi Baudouin ?

Nous avons déjà tenté de le faire en 2000. Cela ne s'est pas avéré efficace. Dû à des raisons physiques de construction, il n'est plus possible de retaper le stade à nouveau. Les normes de sécurité sont devenues plus strictes. Ainsi par exemple les « gradins » (les bancs dans les tribunes) et les marches sont trop étroites pour satisfaire aux standards internationaux.

Le stade ne dispose d'aucune infrastructure « hospitalières » et manque cruellement de confort (restaurants, brasseries, etc..).

En résumé, le Stade Roi Baudouin devrait être entièrement détruit, pour ensuite construire un nouveau stade.

Le Parking C, où le nouveau stade sera construit, est la propriété de la Ville de Bruxelles, est peu utilisé et est idéalement situé. Il est mieux accessible pour les transports en commun et les autres moyens de locomotion. 

Pourquoi l'Euro 2020 n'utiliserait pas le nouveau stade de Gand, le Ghelamco-arena ? 

Le Ghelamco Arena est très beau, il s'agit d'un stade unique, mais dispose d'une capacité trop faible. En outre, Gand ne dispose pas de suffisamment d'hôtels. 

Le Parking C se trouve en Flandre. Bruxelles n'a pas d'autres lieux sur son propre territoire?  

Tous les lieux possibles ont été examinés. Seul un lieu répondait à toutes les conditions et c'est le Parking C:

• dispose d'une situation centrale dans le pays et à un jet de pierre du centre.
• le Parking C fait partie du Plateau du Heysel, conçu pour accueillir des événements de grandes ampleur.
• le Parking C est accessible par une infrastructure routière, des transports publics (métro, tram et bus), se trouve à deux pas de l'aéroport et est même facile d'accès en train via les grandes gares à Bruxelles. 
• le Parking C est complémentaire à d'autres aménagements sur le Heysel ; le parc des expositions, le palais 12, le centre de congrès, l'offre de retail et de loisirs. 
• il s'agit d'une location de premier choix qui n'est utilisée à peine que depuis 50 ans, justement à cause de sa situation administrative, proche du ring, propriété de Bruxelles-Ville, mais sur le territoire de Grimbergen/Flandre.
• du point de vue urbanistique, il n'y a pas de problème pour y implanter une telle infrastructure.

En résumé, le Parking C est le lieux idéal: il ne faut rien détruire, il appartient à la Ville de Bruxelles et il est très bien situé, aussi bien pour les transports publics que pour les autres moyens de transport. 

Le Stade Roi Baudouin existe encore. Est-ce que Bruxelles est en mesure de remplir deux stades situés à quelques centaines de mètres l'un de l'autre ? Pour le RSCA, les Diables Rouges et pour quelques concerts par an. Cela semble si invraisemblable. 

Regardez un peu www.feyenoord-city.nl. A Amsterdam, l'ancien stade olympique a été conservé, il a été rétrécit et l'Arena Amsterdam a été construit un peu plus loin. A Lille, Barcelone (FC Barcelona, Espanyol Barcelona et le Stade olympique), Stockholm (Friends Arena et le Stade olympique), Séville (Betis, FC Sevilla et le Stade olympique), et Munich (Allianz Arena et le Stade olympique) la même chose.

De plus, Rome (le Stade olympique et le nouveau stade de AS Roma) et Lausanne (FC Lausanne-Sport et le Stade olympique) sont en phase de construction pour édifier un nouveau stade de football, maintenant le stade athlétique.

Et tel que signalé, Rotterdam s'apprête à faire la même chose. Amsterdam, Lille et Rotterdam se trouvent dans notre environnement immédiat.

En outre, dans le cadre du développement du projet Neo1, les activités dans le Stade Roi Baudouin seront limitées. 

Un stade proche de l'autoroute ne semble pas approprié pour les joueurs et les spectateurs ? 

Le stade de France à Paris, l'Allianz Arena à Munich, le Stade Saint Symphorien à Metz, le Ghelamco Arena à Gand etcétéra: ils se trouvent tous à proximité de l'autoroute. Arena Amsterdam se situe même au-dessus d'une route et l'Atletico Madrid dispose d'un stade dont la tribune principale se trouve au-dessus d'une autoroute.

L'Eurostadium va devenir un stade de luxe. C'est la folie des grandeurs. Il s'agit de dépenses inutiles. Laissez jouer les joueurs terriblement chers dans un autre pays.

C'est un avis respectable. Seulement de nombreux concitoyens ne partagent pas cet avis. Et eux, vous ne les entendez pas. En outre, qu'y a –t-il de mégalomane pour Bruxelles, si un tel stade est possible à Lille, Amsterdam, Rotterdam et j'en passe. La Belgique ne dispose d'aucun stade international digne de ce nom. D'ailleurs l'attention de l'Eurostadium se concentre justement sur le « simple » supporter.

Dans une région de 1,2 millions d'habitant, un stade de 60.000 places assises est économiquement réaliste. Des exemples à l'étranger le démontrent.

Ne devons-nous pas évoluer vers une société qui mettrait d'autres héros que des footballeurs sur le devant de la scène ?  

Bruxelles compte une population très jeune. Très variée et parlant plusieurs langues. De nombreux jeunes ont dû mal à se sentir ici chez eux. Ils ne se sentent pas suffisamment liés avec la ville dans laquelle ils vivent. Il faut améliorer l'animation socio-éducative . Le sport peut être un moyen pour y arriver. Les sports d'équipe plus que n'importe quel autre sport. Le sport de haut niveau et la pratique du sport également.

Le sport est un outil idéal pour rapprocher les gens. Les jeunes ont besoin d'idoles pour rêver de leur futur. Les sportifs dans l'Eurostadium ont ici une fonction d'exemple à jouer envers les jeunes bruxellois. 

De nombreux belges ont introduit une plainte contre la venue de l'Eurostadium. Devinez combien seront fâchés lorsque Bruxelles restera sur la touche en 2020 parce qu'elle ne disposera pas de stade ?

En effet. L'Eurostadium représentera un point positif absolu pour le rayonnement international de Bruxelles, capitale de l'Europe, le moteur économique du pays. Nous devons entretenir ce statut multiple de capital dans l'intérêt du bien-être de nos concitoyens: de Bruxelles, de Flandre et de Wallonie.

La mobilité

Le Ring autour de Bruxelles est déjà saturé aujourd'hui. 

L'accès au parking C date de 1958, époque à laquelle la circulation automobile était bien moindre. Avec le nouveau stade et son parking de dissuasion, la mobilité en sera nettement améliorée. Car pour le futur parking souterrain moderne, les voies d'accès seront revues. Le trafic venant de Gand et d'Anvers sera tenu à l'écart, ils ne se croiseront donc pas, ce qui permettra à tous d'entrer et de sortir plus rapidement du parking. L'automobiliste aura directement accès au parking depuis le Ring, sans gêner les autres utilisateurs de la route.

Le fait que la nouvelle infrastructure du parking améliorera considérablement la situation du trafic et de la mobilité actuelle, ressort de l'étude volumineuse (1.200 pages) sur les impacts environnementaux. Il y aura également une convention de la mobilité jamais vu auparavant. 

Avec une nouvelle ligne de tram au Heysel et la construction de nouvelles pistes cyclables et piétonnes, l'offre de mobilité en sera plus diversifiée et de plus grande qualité que cela n'est le cas aujourd'hui. 

L'Eurostadium occasionnera davantage de trafic sur le Ring. Comment le Ring va-t-il pouvoir absorber cela ? 

Les automobilistes roulent déjà aujourd'hui via le Ring vers le RSCAnderlecht, vers les matches des Diables Rouges ou encore vers le Stade Roi Baudouin pour les concerts. La construction du stade ne fera pas augmenter immédiatement les activités de manière exponentielle. 

Bien entendu, l'Eurostadium comptera plus de places que dans les autres stades. Mais nous comptons surtout sur la venue de davantage de Bruxellois, qui aujourd'hui - dû au jeux de l'offre et de la demande - ne peuvent pas se permettre de tickets. Ce public n'utilise pas le Ring et peut se rendre facilement en transports en commun. L'intention est d'attirer ces personnes. Cela profite également à la cohésion sociale. Il ne faut pas perdre de vue que 1,2 millions de personnes vivent en Région de Bruxelles-Capitale. 

Mais afin d'améliorer la situation sur le Ring, la Flandre doit effectivement entrer en action.

Le cahier des charges de l'UEFA pour des stades de l'Euro 2020 donne la préférence aux stades ayant une connexion avec le métro. Donc si le métro doit être prolongé, cela occasionnera des frais supplémentaires au gouvernement. 

L'UEFA demande des stades qui disposent d'une grande connexion avec les transports publics. Il n'est pas spécifié que cela doit être une connexion directe avec le métro. A titre d'exemple, des stades comme Bilbao et Copenhague ne disposent pas d'une connexion directe avec le métro.  

Le métro s'arrête à 550 mètres de l'emplacement prévu de l'Eurostadium, à peine 10 minutes à pieds. Pour des grands événements cela est idéal. Cela permet une période pour reprendre ses esprits entre le départ d'un événement de masse et l'utilisation du transport public souterrain.

Le pouvoir public et l'argent

Vous avez dit que le stade ne couterait rien au contribuable. L'opposition remet cela en cause.

Le maître d'ouvrage/l'exploitant de l'Eurostadium prend à sa charge les adaptations aux voies d'accès, le réaménagement du site avec parc et autres. L'investissement est évalué entre 300 et 400 millions d'euros. 

Le pouvoir public  (la Région bruxelloise et la Ville de Bruxelles) investit dans le parking de dissuasion qui verra le jour sur le Parking C et il s'agit d'un Partenariat Public-Privé:

• cela requiert un investissement de 160 millions d'euros, dont 80 millions d'euros du pouvoir public  provenant de NEO (la société responsable pour le développement du site du Heysel et dont la moitié du capital est détenue par la Région de Bruxelles-Capitale et l'autre moitié par la Ville de Bruxelles). Les autres 80 millions d'euros viennent du privé ;
• ce modèle d'entreprise est tant validé que déconsolidé par l'ICN (Institut des Comptes Nationaux). Le parking de dissuasion va rapporter de l'argent. Le bénéfice sera reversé au pouvoir public;
• le Parc d'Exposition a son mot à dire sur ce point, vu l'importance de ce parking pour l'entièreté du site du Heysel ;
• la Région participe attendu du fait que ce parking fait partie du réseau des parkings de dissuasion.

La Ville de Bruxelles investit aussi des moyens pour sa présence, l'hospitalité, l'usage de l'infrastructure. Il s'agit d'un montant de 4 millions d'euros par an pendant 30 ans: cet investissement est similaire à la contribution que la Ville de Bruxelles apporte momentanément au Stade Roi Baudouin. 

La Ville de Bruxelles a donné l'entièreté du terrain pour 99 ans en emphytéose.

Le RSCAnderlecht s'engage à utiliser l'Eurostadium comme port d'attache pour sa première équipe moyennant une rémunération d'un peu moins de 10 millions par an. (Il s'agit d'une rémunération brute, car Ghelamco prévoit entre autres dans l'entretien structurel).

Ghelamco reçoit le terrain pour seulement un euro en emphytéose. Un joli cadeau au promoteur ?

Dans une première phase, il a été envisagé de vendre le Parking C. Mais dans ce cas,  nous n'aurions jamais trouvé un candidat constructeur. Tout cela a été étudié au préalable. Une estimation a été faite dans une étude concernant un possible plan d'entreprise d'un partenaire privé. La conclusion était que la chance serait minime que le privé soit intéressé. Donc pour construire un stade, sans argent public, il importait de mettre à disposition le terrain. Il s'agit d'un bail emphytéotique de 99 ans: le terrain n'est pas donné, il sera bien utilisé. Et à l'issu de cette période, la Ville disposera à nouveau de la pleine propriété du terrain.

Bruxelles profitera aussi des développements sur le terrain. Cela fait déjà 50 ans que le Parking C est une plaine de graviers déplorable, qui ne sert que quelques dizaines de jours par an comme  parking à ciel ouvert. En implantant un stade, un campus d'innovation, un parc et surtout un parking de dissuasion dont nous rêvons depuis si longtemps, la Ville de Bruxelles en profite aussi comme propriétaire du terrain. Et le tout, exception faite de la moitié du parking de dissuasion, est payé par le secteur privé.

La transparence administrative

Pourquoi ne divulguez-vous pas l'accord autour de la construction et l'exploitation du parking souterrain ? Groen parle d'une politique fondée sur des décisions prises dans le plus grand secret et saisi même le juge de paix.

Nous avons un profond respect pour la transparence et l'ouverture, mais nous sommes également tenu par des règles et des lois.

La question fondamentale ici est l'accord entre quatre parties autour de la construction et de l'exploitation du parking souterrain à côté du futur Eurostadium. Il s'agit d'un accord dans lequel un plan d'entreprise est contenu et ceci signifie: un accord avec des partenaires commerciaux dans un milieu concurrentiel. Pour une exploitation qui pourra commencer au plus tôt en 2019. Il n'est pas d'usage qu'un pareil accord soit rendu public. Cela s'applique d'ailleurs pour la plupart des contrats privés.

Cet accord a bien été présenté pour approbation aux services de la Banque Nationale. Son service, l'Institut des Comptes Nationaux (ICN), y a donné un avis favorable. La manière avec laquelle nous nous agissons, est décrite de façon circonstanciée dans cet avis. L'avis est public et peut être consulté sur le site de l'ICN.

Nos dossiers sont parfaitement en ordre. Nous respectons les règles, y compris celles en ce qui concerne la transparence administrative.

Apparemment il y aura encore plus d'affaires juridiques en vue.

Les adversaires de l'Eurostadium emploient toutes sortes de moyens pour mettre des bâtons dans les roues et de ralentir le dossier.

Le meilleur exemple est l'affaire autour du prétendu chemin vicinal auquel les adversaires font référence pour entraver ou ralentir la délivrance du permis de bâtir. Ils veulent conserver un chemin vicinal, qui n'en est plus un depuis 50 ans.

L'ancien chemin vicinal se trouve entretemps probablement au moins 1,5 à 2 mètres sous le parking, à certains endroits même 2,5 à 3 mètres.

Mais, nous vivons dans un état de droit. Toutes les procédures seront suivies une par une. Il est néanmoins exaspérant qu'à cause de cela la réalisation d'un projet de développement d'une telle importance en soit ralenti. 

D' autres adversaires de l'Eurostadium sur le Parking C craignent une francisation de la Périphérie flamande, un rattachement d'un morceau de la Flandre par Bruxelles, où la langue véhiculaire ne serait pas le Néerlandais et où la promotion de Bruxelles serait faite.

Ils ne s'en réjouissent pas pour Bruxelles. Leur principale intention est de jouer un vilain tour à Bruxelles. Cela cadre dans leur aspiration vers l'indépendance.

Timing

 Y-a-t-il encore une chance que  l'Eurostadium soit prêt dans les temps ?

Toutes les batailles juridiques seront menées une par une. Le maître d'ouvrage Ghelamco dispose d'un dossier en beton. Il est dommage que toutes ces batailles de procédures doivent être menées. Elles coutent du temps, de l'énergie et de l'argent.

Malgré les difficultés avec lesquelles le maître d'ouvrage est confronté en ce moment, nous avons entière confiance dans le bon déroulement et nous sommes impatient d'arriver au jour où notre pays disposera d'un stade pour des compétitions internationales, digne de ce nom.

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