Le ministre Guy Vanhengel était présent pour la pose de la première pierre du nouveau campus de l’Erasmushoogeschool Brussel, plus précisément le département Enseignement et Pédagogie, sur le ‘campus Kanal’.

De 2002 à aujourd’hui, la VGC a investi 340 millions d’euros dans la construction et la rénovation d’école ainsi que des travaux d’infrastructures. La VGC a réussi, avec la Communauté flamande, à créer déjà près de 5.000 places dans l’enseignement primaire. Quand tous les projets en cours visant à augmenter la capacité dans l’enseignement primaire, soutenus par la VGC, seront terminés, d’ici à quelques années, et quand toutes les places seront disponibles, s’y ajouteront encore 4.000 places, soit un total de 9.000 places.

Parce que les petits ketjes deviennent vite grand, la VGC a également commencé à investir dans l’enseignement secondaire. Cela est déjà le cas à Anderlecht, Koekelberg et aussi à Schaerbeek. Ce sont des concepts d’enseignement innovants, qui se basent encore plus sur les talents de chaque enfant, sur mesure, sur le soin et un support suffisant. Nous investissons ainsi non seulement dans les briques, mais aussi dans l’enseignement de l’avenir, plus adapté aux besoins des enfants et des jeunes.

« Les formations des enseignants bruxellois sont pour moi des partenaires importants pour renforcer encore l’enseignement néerlandophone à Bruxelles », dit le ministre Guy Vanhengel, « les places supplémentaires dans les écoles et les naissances de plus en plus nombreuses font augmenter la demande de nouveaux enseignants. Bruxelles et ses ketjes ont besoin d’enseignants et de pédagogues enthousiastes et énergiques. Des enseignants et pédagogues qui s’engagent avec passion et plaisir pour tirer le meilleur de chaque enfant et aider chacun d’entre eux à développer ses talents de manière optimale. En immergeant les étudiants pendant leur formation dans la réalité diverse et multilingue de Bruxelles, on les prépare à un job dans leur ville d’étude. Je ne peux que leur conseiller un job dans l’enseignement néerlandophone de Bruxelles. La demande est forte, parce que l’enseignement néerlandophone est tourné vers l’avenir et qualitatif. Nulle part ailleurs, un encadrement de ce format n’est proposé. Ceux qui seront diplômés ici trouveront sans aucun problème un travail. Nous réalisons ceci parce que nous sommes convaincus que l’enseignement ressemble à l’enseignant devant sa classe. Le contexte urbain, le multilinguisme et la diversité forment sûrement un défi, mais est intrinsèquement lié à des tas d’opportunités et de chances que Bruxelles offre. C’est pour ça qu’enseigner à Bruxelles reste intéressant. »

 

 

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