Le 9 mai, Khadija Zamouri et son collègue, le député bruxellois Kanfaoui (MR), ont organisé une journée d'étude intitulée «Bruxelles, une ville agréable pour vieillir ?». Divers sujets ont été abordés, tels que le logement, le développement urbain, la mobilité et la cohésion sociale.

Cette journée d'étude a montré que le sujet de la politique du vieillissement vit clairement visible chez les Bruxellois

Des éléments intéressants ont été cités lors des différentes présentations de nos conférenciers. Outre le fait que nos aînés veulent rester plus longtemps à la maison, de plus en plus de «formes de vie» émergent dans le paysage du logement pour les personnes âgées, comme le logement intergénérationnel.

Un autre élément, souvent sujet à discussion et où les différents conférenciers étaient unanimement d’accord sur son importance en matière de politique du vieillissement, est la cohésion sociale. Pour les personnes âgées qui choisissent  de rester à la maison, l'isolement social est l'un des plus grands défis. Bien qu'il existe diverses initiatives visant à rapprocher les personnes âgées entre elles et avec le voisinage, les problèmes d'isolement social restent un défi majeur. Un défi que les responsables des politiques et les décideurs doivent également prendre en compte dans leurs politiques.

«Pour moi, cette journée d'étude m'a ouvert les yeux de plusieurs façons, et c'est pourquoi j'ai décidé d'en faire le suivi.» Le séminaire a été la première étape d'une série d'activités et d'événements que je voudrais organiser dans le domaine des personnes âgées. L'organisation d'un cabinet bruxellois des seniors est la deuxième étape, ou je voudrais rassembler les seniors bruxellois, pour réfléchir sur les mesures qui sont importantes pour eux afin de faire de Bruxelles une ville agréable pour vieillir », explique Khadija Zamouri. Pour se préparer à cela, Khadija a fait un stage d'une journée à la maison de repos Armonea à Uccle pour les personnes atteintes de démence.

 

Khadija Zamouri : « Avec son centre de soins résidentiels, le groupe Armonea dispose d'un « bijou » et d'une maison unique qui ne compte que des personnes âgées démentes. Ce qui m’a frappé dans ce centre de soins résidentiels, c'est la collaboration avec Anahata, une organisation à but non lucratif d'Anvers, qui leur donne le savoir-faire pour organiser et organiser un centre d'hébergement de sorte que les résidents puissent jouir d'une liberté maximale ».

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